La majorité des Mauritaniens qui ont eu recours au service de la police ou à un service éducatif public au cours des 12 derniers mois disent qu’il était facile d’avoir ce dont ils avaient besoin, contrairement à ceux qui ont tenté d’obtenir un document d’identité, selon les résultats de l’enquête Afrobarometer.

Beaucoup de répondants qui ont fait l’expérience de ces services publics disent avoir dû verser des pots-de-vin.

Quant à l’accès à l’électricité, seulement la moitié des Mauritaniens affirment qu’ils sont raccordés au réseau public d’électricité.

Aux yeux des citoyens, l’éducation et la santé sont les deux plus importants problèmes auxquels le gouvernement devrait s’attaquer, suivies par la pauvreté.